Antoine ABDL devient Noémie

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper boy / Little boy Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem TV trans travesti sissy
il y a 8 ans
L'histoire d'une rencontre BDSM-ABDL

Antoine était un jeune étudiant de 20 ans, aimant des couches souillés, qui mettait ses premiers pas dans le petit monde de fétichistes. Vivant le week-end avec ses parents et partageant en semaine un logement avec un ami, il n’avait pas beaucoup d’opportunités de vivre ses phantasmes.

Gérard, ayant vécu plus que le double d’années d’Antoine, avait f o r cé ment plus d’expérience. Un peu par hasard ils nouaient amitié en échangeant des mails. Très vite ils se rendaient compte qu’à part la passion pour les couches sales ils partageaient aussi l’envie de porter des vêtements de femmes et des phantasmes de féminisation et d’humiliation.

Ils prenaient l’habitude d’assumer des personnalités féminines dans leur correspondance. Spécialement Antoine rentrait de plus en plus dans la peau de Noémie, jeune file timide de son âge, aimant se comporter en petite fillette. Gérard l’encourageait dans son exploration de ce caractère charmant.

Aucun des deux hommes n’était homosexuel mais le fait que dans leur correspondance Antoine devenait Noémie permettait Gérard de l’appeler « ma chérie », « mon amour », de lui envoyer « plein de bisouxxx » et d’écrire combien il voulait qu’ils puissent se rencontrer. Ce qui aidait Antoine de rentrer de plus en plus dans le rôle de Noémie.

Voici par exemple un petit mot doux d’Elise (un des rôles de Gérard) à Noémie: « Ma chérie, Quel bonheur de recevoir tes messages ! Tu m’excites ! Je te répondrai au plus vite ma pute, mon bébé, ma poupée. Je t’adore » Leurs échanges de mails devenaient de plus en plus explicites. Noémie, la soumise, écrivait par exemple le suivant : « J’ai envie que tu me fasses un lavement puis que tu me mettes ma couche, que tu m'obliges à la garder, jusqu’à avoir des fuites, me faire rabaisser car je ne suis pas la grande fille, que je ne suis qu’un bébé qui porte des affaires des grands. Que tu m’entrave pour que je ne puisse plus rien faire par moi-même, juste téter ma suce et appeler maman quand ma couche fuit. »

Ou une autre fois : « Je veux être l’objet de ton désir, ta soubrette, ton objet, me faire prendre quand tu en a envie, que tu me modèles comme tu en as envie. Ne plus rien pouvoir faire sans ton approbation, être tout simplement ton jouet. Ton esclave Noémie »

Ou encore : « J’aspire uniquement à être votre trou pour que vous soyez satisfaite, que vous me donniez du plaisir avec votre gode ceinture, que vous soyez mâle et que je ne sois que chienne. Que je vous lèche pour que vous hurliez de plaisir, tout comme moi je hurle quand vous m’arracher les entrailles avec votre membre. » Mais parfois le phantasme changeait légèrement et Noémie aspirait à être une belle femme attirante : « Je veux que tu fasses de moi une femme parfaite, sexy, un joli maquillage, des belles formes. Je veux être magnifique à vos yeux, vous plaire, être belle, sexy. »

« Oui madame, c’est ce que je veux, vous m’excitez, vous êtes si belle. Je me plierais à votre volonté, je m’habillerais comme vous le voulez, et je ferais tout ce que vous me demanderez, car je suis faite pour ça. Je suis une vraie femme d’intérieur, toujours habillé sexy pour ma maitresse, toujours prête à subvenir au moindre désir de ma maitresse. Pas une jupe plus basse que la mi-cuisse, pour que ma maitresse ait toujours un œil sur mes parties intimes, et qu’elle s’en occupe quand elle veut.»

Gérard de son côté, dans son rôle d’Elise ou pas, devenait également de plus en plus clair :

« Je sais que tu ferais la soumise parfaite. Tu dis que je t’excite mais t’es une sale menteuse. C’est ce que tu voudrais que je te fasse qui t’excite ! Tu veux devenir mon objet de désir, vêtue dans des petites robes de soubrette, avec des beaux bas noirs et des chaussures à talons ? Et tu voudrais que je te prenne quand et comment que j’ai envie ?

Et bien t’as de la chance parce que moi aussi cela m’excite de t’avoir à ma disposition tout le temps, de t’avoir comme ma propriété, comme un petit jouet, comme tu dis. Mais cela viendra à un prix ! Tu seras mon jouet mais aussi ma bonne à tout faire. Tu feras mon ménage et quand mes amis viendront en visite tu nous serviras en uniforme de bonne, avec une jupe tout courte dévoilant ton slip à dentelles chaque fois que tu te penches en avant pour servir, invitant ainsi mes amis à mettre leur main entre tes jambes. Quand ils font ça tu leur donneras un sourire gentil en demandant avec une petite voix de continuer. Mais puisque je te veux pour moi, et seulement pour moi, tu porteras une ceinture de chasteté et mes amis auront seulement accès à ton petit trou de derrière. »

Mais quand Antoine se voyait en maitresse de maison prête à servir les amis de Gérard habillé en belle femme sexy, Gérard l’insultait d’avantage : « Si vous voulez que je sers vos invités en portant une petite robe sexy ce sera mon plaisir, je ferais tout pour vous. Je veux vous rendre fière, je ferais tout pour toi » « Recevoir vos amis serait pour moi un plaisir, et je ne chercherais qu’à vous rendre fière de votre objet.»

Gérard répondait : « Oh la sale pute ! Ce serait un plaisir pour toi de recevoir mes amis ? Ça t’excite d’exhibitionner tes cuisses et de te faire tripoter par mes amis ? Eh bien, il ne faut pas imaginer que cela se passera comme ça. Je t’attacherai agenouillé au chauffage dans la chambre avec tes mains menottés dans ton dos et portant rien que ta couche puante et une petite chemisette. Je jouerai aux cartes avec mes amis et tu seras la mise : celui qui gagne pourra se faire sucer par toi. Et puis s’ils ont envie ils passeront tous. Me rendre fière d’une petite merde comme toi ? Non mais ça ne vas pas ? »

Et Noémie acceptait sans hésitation : « Alors je servirai vos amis étant dans mes couches remplies de pisse et de merde, si vous le demandez je serai seulement un trou à combler par les atouts de vos invités »

Et de nouveau Gérard enchainait : « Quand j’aurai terminé ta formation tu n’auras plus de honte. Je te ferai porter des couches et tu les garderas pendant 48 heures. Je t’enverrai faire des courses avec ta couche puante, pour que tout le monde sache que t’es une petite chieuse dégoutante. »

Mais parfois il était plus indulgent

« Si tu es obéissante je te laisserai te faire joli pour moi quand on sera à nous deux. Tu pourras porter de la belle lingerie, des bijoux, des jupes courtes, mais n’oublie jamais que c’est moi la déesse, la maitresse que tu adores, que tu vénères, et que toi, tu n’es qu’un objet, une poupée, un jouet, que le fait que tu puisses me tenir compagnie, que tu puisses me lécher, est une récompense pour ton obéissance, pour bien me servir. Mais ne cherche jamais à me rendre fière de toi. Tu n’es pas à la hauteur. »

Mais puis Gérard suggérait que parfois l’idée de renverser les rôles l’excitait : « Je dois avouer que renverser les rôles de temps en temps me tente. Et toi, cette idée te tente ? » Noémie répondait qu’elle ferait tout ce qu’il lui demandait : « Bien-sûr que je peux te dominer, car tu adorse être une chienne, et tu vas être traitée comme tel, tu n’auras plus le droit de me parler, les aboiements seront les seuls sons qui pourrons sortir de ta bouche. Crois-moi par contre que les bites vont y rentrer, et pas seulement dans ta bouche, ta rosette sera ton nouveau sexe, l’ancien ne sortant jamais de sa cage de chasteté. Je te promènerais en laisse, simplement vêtu d’une couche pleine, je ne te changerais que lorsque tu seras un petit toutou et que j’en aurais envie, c’est à dire pas souvent. Crois-moi, tu n’auras pas le droit à un seul mouvement sans que je te donne mon approbation. » Et Gérard était clairement excité :

« Je suis honteux de t’avouer que oui, je veux être ta chienne. Etre promené en laisse par toi, te parler par aboiements, être sodomisé par toi, avoir ma bite enfermé dans une petite cage, je suis à toi » Cette correspondance durait plusieurs mois, et l’envie de se rencontrer et de vivre ensemble leurs phantasmes en vrai, grandissait jour par jour. Quand l’été s’approchait Gérard proposait qu’Antoine vienne vivre avec lui à Bruxelles pendant quelques mois pour suivre un cours d’été. L’invitation était trop attirante pour ne pas l’accepter. Antoine s’informait, convainquait ses parents, et s’inscrivait.

Chapitre 1

Un jour au début du mois de juillet il se présentait à l’adresse indiquée par Gérard. Gérard avait proposé de venir le chercher à la gare mais Antoine l’avait refusé et Gérard n’avait pas insisté. Ils s’étaient échangés quelques photos mais pas trop, et tous les deux étaient nerveux de se présenter devant l’autre en réalité. Ils préféraient donc se rencontrer dans la privacité d’une maison.

Antoine respirait profondément et sonnait. La porte s’ouvrait et il était accueilli par l’homme dont il reconnaissait la silhouette des photos, mais il paraissait plus grand et il était plus âgé que ce qu’Antoine avait attendu. Mais il avait une figure gentille qui rassurait le jeune home. Il y avait une petite hésitation mais puis Gérard se penchait en avant pour lui donner une bise sur la joue : « Bonjour Noémie, bienvenue à Bruxelles.» Etre adressé comme Noémie de vive voix le mettait un peu mal à l’aise, mais en même temps il aimait. Il souriait timidement.

Gérard le prenait par la main et avec l’autre main prenait son sac : « Viens, je te montre ta chambre.» Il montait l’escalier et Antoine le suivait.Un moment plus tard. Gérard ouvrait une porte sur une belle chambre lumineuse, et en passant indiquait une autre porte en face en expliquant que c’était sa salle de bains. Puis il le laissait s’installer et disait qu’il t’attendrait en bas.

Antoine se trouvait seul et regardait autour de lui. C’était une chambre bien accueillante et confortable, et il sentait qu’il allait s’y plaire. Mais puis son regard tombait sur quelques vêtements étalés sur le lit. Il s’approchait et trouvait une jupe courte en jeans, une culotte aux bords dentelées, un t-shirt rose avec un dessin d’une jeune fille, et des chaussettes courtes également roses.

Antoine était figé sur place. Une fois il s’était achetée une jupe et l’avait portée dans sa chambre. Il avait adorée mais néanmoins tout honteux il avait jeté la jupe le lendemain. Il regardait les vêtements sur le lit de plus près et l’idée de les mettre l’excitait. Mais il comprenait que Gérard l’attendait et devoir se montrer habillé en femme à quelqu’un l’angoissait. Il réalisait qu’ils n’avaient jamais précisés ce qu’ils allaient faire lors de son séjour mais il réalisait que c’était évident que s’habiller en Noémie faisait partie du « deal ».

Toujours hésitant il se changeait. Quand il se regardait dans le miroir il ne pouvait pas supprimer un petit cri de plaisir, et il portait automatiquement sa main en dessous de sa jupe ou son membre gonflait dans la petite culotte. Il paraissait plus féminin qu’il n’aurait jamais osé espérer. Evidemment quand il se regardait de plus près il se rendait compte que ces jambes et bras poilus gâtaient un peu l’effet, et sa tête était toujours une tête d’homme. Néanmoins il prenait son courage en deux mains et sortait de sa chambre pour chercher son hôte.

Quand il rentrait au living Gérard, qui était en train de lire, sautait sur ces pieds en sifflant : « Ooh, qu’elle est jolie ! » Il se précipitait vers Antoine qui c’était arrêtée dans l’ouverture de la porte, et le prenait dans ces bras. « Qu’elle est jolie ma petite Noémie ! » Antoine sentait que Gérard mettait sa main entre ces jambes et montait en dessous de sa jupe, en riant. « Ah, je croyais bien que j’avais vu une petite bosse ! » Antoine ne savait plus bouger. Se faire tripoter les parties privées par un homme l’embarrassait. Mais Noémie se sentait bien dans les bras de Gérard. A ce moment il sentait celui-ci poser un petit baiser sur ses lèvres et puis il était relâchée : « Viens te mettre ici à côté de moi, j’ai un petit cadeau de bienvenu pour toi ma belle ! » De nouveau Gérard le prenait par la main et le conduisait au canapé ou ils s’asseyaient. S’asseoir vêtue d’une jupe courte, en la tenant avec ses mains pour qu’elle ne monte pas, était une nouvelle expérience pour Antoine. Il était surpris de noter qu’il trouvait sa érotique. Gérard l’avait vu et souriait.

Gérard lui donnait un petit paquet, qu’Antoine, curieux, s’empressait à ouvrir. Quand il en sortait un collier de chien en cuir, avec une petite plaque en cuivre gravée du nom de Noémie, il n’en revenait pas. Il demandait tout de suite à Gérard de le lui mettre, mais avant de le faire Gérard lui montrait qu’en dessous de son nom il y avait autre chose gravé en petites lettres. Ill regardait le collier de plus près et incrédule il lisait I« Propriété de Gérard », suivi d’un numéro de téléphone. Gérard se penchait de nouveau vers lui : « Voilà, maintenant tu m’appartiens comme tu le voulais ! Et si tu te perds les gens sauront comment trouver ton maitre». En fermant le collier autour de son cou Gérard approchait ses lèvres de la bouche du jeune homme. Cette fois-ci ses lèvres trainaient un peu plus et Antoine sentait comment la langue de son nouveau maitre effleurait ses lèvres. Automatiquement il ouvrait légèrement sa bouche, mais Gérard c’était déjà retiré, en souriant : « Pas trop vite ma pute ! »

Antoine rougissait. Il était confus. Il était rentré dans le rôle de la petite Noémie beaucoup plus vite qu’il ne l’aurait cru possible, et ça le rendait heureux et l’excitait, mais en même temps il était honteux. Et Gérard l’intimidait.

Pour ne pas devoir faire face à sa honte il se laissait glisser dans le rôle de soumise dont il avait tellement rêvé. Quand Gérard le demandait de le suivre il n’osait même pas demander où ils allaient, suivant son maitre à la salle de bain et, exécutant ses ordres, se déshabillait complètement sans protester. Quand il avait tout enlevé sauf le collier et la petite culotte Gérard l’ordonnait de grimper dans le bain et d’enlever également cette dernière pièce. Se trouvant dans cette situation humiliante devant cet homme presque inconnu, qui avait l’air de tellement bien savoir ce qu’il voulait, enlevait tout f o r ce  de résistance et il enlevait la culotte. L’enchaînement rapide des évènements étourdissait le garçon.

L’heure suivante Gérard s’occupait à enlever tous les poils du corps de sa nouvelle compagne, – sauf ceux qui se trouvaient sur son crâne. Antoine se laissait faire, se sentant de plus en plus nue, petite, et … féminine. Quand il était devenu toute lisse Gérard l’aidait à sortir du bain, le serrait dans ses bras, et puis l’invitait à se caresser ses propres jambes et bras : «Sens comme tu es devenue toute douce mon amour ! » De nouveau leurs lèvres se trouvaient et cette fois-ci ils avaient leur premier baiser.

Noémie se sentait toute drôle. Toute nue dans les bras de cet homme mature, elle se sentait dépendante et ça lui plaisait. Elle fermait les yeux et voulait que le moment dure, et Il y avait un frisson qui passait à travers son corps. Gérard, croyant qu’elle avait froid, disait qu’il était temps de s’habiller.

Quand elle avait remis la jupe et le T-shirt rose Gérard la mettait devant le miroir, et demandait si elle ne se trouvait pas plus jolie comme ça. Noémie hochait la tête. Gérard l’entraînait dans la chambre et l’ordonnait de se mettre à genoux à côté du lit. Exécutant elle regardait horrifié comment il ouvrait son pantalon et s’asseyait sur le bord du lit. Son membre se trouvait à quelques centimètres de sa figure et elle comprenait évidemment ce qui était attendu d’elle. En vue de leurs échanges de mails elle aurait dû le savoir, et en effet elle n’était pas surprise. Néanmoins elle hésitait et quand Gérard prenait sa tête dans ses mains el la poussait vers son membre, elle résistait. Gérard se mettait à rire : « Voyons ma pute, tu voulais que je te prenne quand et comment que je voulais, tu voulais être mon trou. » Noémie le regardait avec des grand yeux effrayés : «Je sais, mais vous voyez…, je pensais que …, je ne savais pas que vous auriez …, je croyais que vous auriez un gode !» Gérard riait plus fort : « Ceci est beaucoup mieux mon amour, un gode ne donne pas du jus ! Allez, au travail ! » Il poussait de nouveau la tête de Noémie vers lui et cette fois-ci elle ouvrait sa bouche et prenant le membre en deux mains, se mettait à le sucer maladroitement.

Bien que ce fût la première fois qu’elle pipait un homme Gérard ne tardait pas à venir et à éjaculer dans sa bouche. Elle était surprise qu’elle aimait le gout et quand Gérard lui demandait si elle avait aimé, pendant qu’il caressait ces cheveux, elle hochait la tête. Gérard souriait et disait qu’elle avait été bien, et qu’elle apprendrait à être encore mieux. Sans attendre une réaction il soulevait la jupe de la belle et caressait son arme bien dressée. Toute excitée elle était sur le point d’éjaculer à son tour. « Pas trop vite ma chérie. Je vois que tu n’as pas encore comprise que dorénavant t’es une petite fille ! Et en plus on ne voudrait pas tout salir, n’est-ce pas ? Attend, je vais m’occuper de ça. »

Noémie, toute déçue, regardait Gérard se diriger vers l’armoire et puis revenir avec une couche en main. Elle adorait les couches et donc elle oubliait tout de suite sa déception d’il y a une seconde. Souriante elle tendait la main pour prendre la couche mais Gérard l’ordonnait de se coucher sur le lit. Et de nouveau elle n’osait pas refuser. Se couchant sur son dos avec ses jambes épilés ouvertes, exposant son sexe tout nu, elle était de nouveau consciente de sa nudité absolue et se sentait toute vulnérable. Fermant ses yeux elle se laissait langer. Quand c’était fait il lui tendait la main et l’aidait à se mettre debout. « Ce soir je t’emmène au restaurant pour fêter ton arrivé. » Noémie le regardait avec des grands yeux effrayés et Gérard éclatait de rire:« Faut pas avoir peur. Tu pourras t’habiller discrètement avec un jeans, ma chérie ». Antoine, rassuré, soupirait soulagé, mais réalisait que quelque part il était un peu déçu.

Sortant pour aller au restaurant Antoine était très conscient de la couche entre ces jambes. C’était la première fois qu’il sortait portant une couche et il aimait le sentiment. Mais rentrant au restaurant il avait l’impression que tout le monde regardait son derrière et ses bras sans poils, et il était conscient qu’il portait le collier ou était marqué qu’il appartenait à l’homme qui s’installait en face de lui. Il se sentait dégradé par tout ce qu’il lui était arrivé en quelques heures, mais il savait qu’il aimait, et ça le bouleversait.

Pendant le repas ils parlaient de ces études, et des choses pratiques, comme les heures des bus pour aller au cours. Rentrant à la maison Gérard lui donnait une petite chemise de nuit tout mignonne et le laissait seul pour se changer. Noémie hésitait à enlever la couche mais puisqu’elle était encore sèche décidait de la garder. Puis elle hésitait de se mettre toute de suite au lit ou d’aller rejoindre Gérard. Estimant qu’il serait impoli d’aller au lit sans plus il descendait de nouveau. Gérard la faisait s’asseoir à côté de lui, et mettait sa main en dessous de la chemise de nuit. « T’as gardée ta couche ? C’est bien. Elle est encore sèche ? » Noémie hochait timidement la tête. Gérard lui donnait une bise sur la joue et disait qu’il était temps pour les petites filles pour aller au lit. Noémie, un peu surprise, prenait congé et se rendait dans sa chambre, espérant en vain que Gérard viendrait la rejoindre.

Elle n’arrivait pas tout de suite à trouver le sommeil. Elle écoutait les pas de Gérard et quelques portes qui s’ouvraient et fermaient. Elle se demandait si son maitre allait quand même encore venir la visiter et ne savait pas si elle le voulait ou pas. Mais personne ne venait et elle s’endormait. Le lendemain en se réveillant elle sentait immédiatement la couche entre ses jambes, et avait une envie irrésistible de la remplir. D’abord elle la mouillait, et puis faisait caca. Comme toujours elle adorait le sentiment de la merde qui se répandait dans la couche, et bougeait son derrière de gauche à droite pour bien répandre la masse chaude.

A ce moment la porte s’ouvrait et Gérard rentrait. Il sentait tout de suite ce qui était arrivé. « Oh le bébé dégueu ! ». Il retirait la couverture, prenait Noémie par le bras, et avec un mouvement brusque la faisait se coucher sur son ventre. Avant qu’elle ne réalise ce qui lui arrivait elle sentait que Gérard arrachait la couche et se couchait sur elle. Une fraction de seconde plus tard elle sentait l’arme de son maitre qui ouvrait son anus avec f o r c e, utilisant la merde comme lubrifiant. Elle hurlait de mal, et les larmes coulaient par ses joues. Cela ne durait que quelques minutes. Quand Gérard retirait sa bite il était couvert de merde. Se nettoyant le ventre avec la chemise de nuit de Noémie, il regardait la merde qui c’était mise par tout. « Oh regarde que t’as fait ! T’es vraiment une cochonne dégelasse ! » Et se tournant il voulait la laisser seule, mais il voyait sa figure désemparée et prenait pitié.

Noémie regardait le désastre autour d’elle, et se mettait à pleurer pour de bon. Ses fesses faisaient horriblement mal, mais surtout elle se sentait tellement dégradée. Elle avait envie de retourner chez elle. Mais en même temps elle sentait quelque chose qu’elle n’avait jamais expérimenté avant. Gérard l’avait vraiment possédé, et c’était un sentiment tellement libérateur. En moins de 24 heures il l’avait ôté toute sa dignité, de telle manière qu’elle croyait qu’elle ne n’oserait plus jamais se redresser. Dorénavant elle appartenait complètement à son maitre, et ça lui donnait une immense satisfaction.

Mais regardant autour d’elle elle ne savait pas comment s’y prendre pour nettoyer tout ça. Comme si Gérard avait lu ses idées il lui disait qu’il se faisait tard et qu’elle pourrait nettoyer sa chambre le soir quand elle rentrait. Bien que ce ne fût que partie remise Noémie était un peu soulagé, et elle souriait timidement à son maitre. Celui-ci avait l’air ému et la prenait par la main et l’entraînait vers la salle de bain, ou ils rentraient à deux dans la douche et Gérard se mettait à laver tendrement sa protégée.

Puis il la laissait seul pour s’habiller. Quand Antoine rentrait dans la cuisine Gérard l’attendait derrière une tasse de café. Le garçon hésitait quel attitude à prendre, mais il était tout de suite fixé quand Antoine lui demandait sur un ton irritée pourquoi il avait mis un pantalon, et quand Antoine voulait protester qu’il avait mis ça pour sortir Gérard l’interrompait : « Tais-toi ! Tu parles seulement quand je te demande quelque chose, compris ? »

Sans attendre de réaction il enchaînait : « Je veux qu’à l’intérieur tu portes TOUJOURS des jupes et des robes ! » Et il l’ordonnait à enlever son pantalon. Quand le pauvre le faisait, dévoilant son boxer de garçon, Gérard était encore plus irrité : « Mais qu’est-ce que tu crois ? T’as toujours pas compris que t’es devenue une fille ? Même si tu t’habilles parfois en garçon pour sortir, t’es toujours ma pute ! Je vais te l’apprendre pour de bon ! Enlève moi ça et tourne toi!»

Noémie enlevait le boxer et se tournait avec son dos vers son maitre. Un moment plus tard elle sentait la main de Gérard couverte de beurre entre ses cuisses. Elle comprenait qu’elle allait de nouveau être sodomisée. Bien qu’elle sente encore la douleur de la première fois elle n’osait pas protester, et se penchait en avant pour recevoir l’épée de son maitre. Celui-ci se mettait à rire : « Voilà une bonne petite pute bien sage ! T’aimes ça, non ? » Quand Noémie, essayant de ne pas crier de douleur, ne répondait pas il insistait : « Dis que t’es une pute, et que t’aimes ça ! » Entre ces larmes la petite murmurait qu’elle était une pute et qu’elle aimait quand son maitre la prenait par derrière. En le disant, elle réalisait toute honteuse que c’était vrai.

Quand Gérard c’était satisfait il prenait une couche et ordonnait la fille de la mettre. Couvrir ses fesses pleines de beurre avec une couche était agréable, et adoucissait la douleur. Gérard lui donnait un petit tablier et ordonnait de mettre la table et de lui servir une nouvelle tasse de café. Noémie exécutait et en passant devant le four voyait son reflet dans la vitre. Elle se trouvait toute mignonne avec son petit tablier noué dans son dos, couvrant à peine sa couche. Elle se tournait vers Gérard, et dans un sentiment spontanée, s’installait sur ces genoux et, mettant ces bras autour de son cou, lui donnait un bisou. Gérard était d’abord pris par surprise, mais puis souriant, la serrait fort dans ces bras. Antoine Noémie se sentait trop heureuse, malgré ses fesses qui brûlaient.

Quand ils avaient terminés leurs petit déjeuner Gérard disait qu’elle devait se préparer pour l’école, mais quand elle voulait enlever la couche il s’opposait : « Tu gardes la couche et tu ne peux pas la toucher de toute la journée. Si je crois que tu l’as touchée tu seras sévèrement puni ! » Antoine était tout excité par l’idée de partir aux cours en couche et souriait. Mais à ce moment il réalisait qu’il portait toujours le collier. Timidement il promettait qu’il ne toucherait pas à sa couche, mais demandait s’il pouvait enlever le collier. Gérard le regardait en silence pendant quelques secondes, puis demandait s’il n’était pas fier de lui appartenir ? Antoine rougissait et affirmait que si, qu’il était très fière, puis réalisant qu’il ne pouvait alors plus insister d’enlever le collier, se mordait la lèvre. Mais Gérard souriait, et le prenant dans ces bras, procédait à enlever le collier.

Une demi-heure plus tard Antoine était dans son bus. Ses fesses lui faisaient toujours mal, mais néanmoins il voulait que la journée soit déjà terminée pour qu’il puisse retourner chez son maitre. Sa première journée de cours se passait plutôt bien. L’ambiance était fort différente d’une université normale, entre autres grâce à la présence de nombre de nationalités. Antoine, consciente qu’il portait une couche, essayait de se tenir un peu à l’écart, mais faisait quand même connaissance de quelques françaises très sympa.

Quant à la fin de l’après-midi elles l’invitaient, ensemble avec quelques autres, pour aller prendre un verre, il hésitait. Sa couche était trempée et il craignait d’avoir une fuite. Et, honteux, il réalisait qu’il avait envie de rentrer chez Gérard. Il inventait vite une excuse et promettait qu’il accompagnerait la prochaine fois.

Quand il rentrait Gérard immédiatement lui remettait le collier de chien avec son nom et le faisait enlever son pantalon, puis se moquait de lui : « Mais regarde ça, la sale pisseuse ! Un vrai petit bébé ! » Noémie rougissait et, comme toujours, la couche mouillée la faisait se sentir petite ce qu’elle adorait. Prenant le rôle d’une petite fillette elle regardait le sol et demandait avec une petite voix si Gérard voulait la changer. Celui-ci évidemment refusait en disant qu’il la gardait en couche sale pour qu’elle apprenne à être propre, puis l’envoyait dans sa chambre « parce que les pisseuses puantes ne peuvent pas rester chez les grandes personnes. »

En grimpant l’escalier Noémie se souvenait de l’état de sa chambre. Quand elle ouvrait la porte la puanteur la giflait en plein figure. Comme le matin elle contemplait le désastre et ne savait pas par où commencer. Non seulement son lit était couvert de merde, mais la couche sale trainait, par terre, ainsi que sa chemise de nuit que Gérard avait utilisé pour se nettoyer, et il y avait une trainée de merde jusqu’à la salle de bain.

Découragée elle s’asseyait sur le sol, ou elle était tout de suite prise par l’envie de remplir sa couche. Quand une heure plus tard Gérard l’appelait pour venir manger elle était toujours assise sur sa couche plein de merde. Elle ouvrait sa porte et descendait sans hésiter. Elle savait qu’elle allait être grondée, même punie peut-être, mais ça ne la faisait pas changer d’idée. Au contraire, l’idée que Gérard allait lui gronder et punir donnait des papillons dans le ventre.

Evidemment quand elle rentrait avec sa couche dégoutante et puante Gérard l’insultait de sale chieuse, de cochonne, de dépravée. Intimidée elle regardait le sol, ce qui n’avait pas l’air d’amadouer son maitre. Il prenait une assiette profonde, la remplissait de bouffe, et puis portant l’assiette dans une main, l’entrainait vers l’escalier avec l’autre. Quand ils rentraient dans sa chambre et il voyait qu’elle n’avait rien nettoyé ni rangé il se remettait à l’insulter. Il mettait l’assiette par terre et sortait des menottes et une lanière de l’armoire.

Noémie, surprise mais excitée, se laissait menotter les mains dans le dos et s’attacher au chauffage avec la lanière à son collier: « Je suis sûre qu’une sale cochonne comme toi adore vivre dans sa propre merde ! Assied-toi et mange ! » Elle regardait l’assiette et se penchait en avant,t plongeait sa figure dans l’assiette. Antoine riait, « Une vraie chienne! T’aimes ça, non ? » La pauvre redressait sa tête et hochait, sur quoi Gérard s’agenouillait à côté d’elle et, mettant son bras autour de ses épaules, la couvrait de bises. Elle se tournait vers son maitre et suivant une inspiration du moment, le léchait la figure. Gérard riait plus fort et la serrait dans ses bras :

« Ooh, la belle bête ! Que je t’aime. » Noémie soupirait et murmurait qu’elle l’aimait aussi, mais Gérard l’interrompait en disant que les chiennes ne parlaient pas. Noémie lui léchait de nouveau la figure et puis aboyait joyeusement.

Souriant chaleureusement Gérard la serrait une dernière fois et puis, quittant la chambre, la souhaitait bonne nuit.

La suite de cette histoire BDSM-ABDL est ICI mais cela devient à la fois plus hard et plus attendrissant

QUELQUES LIENS POUR ABDL

Forum ABDL

Rencontres ABDL et little

Histoires érotiques ABDL

Boutique avec un rayon dédié à l'ABDL

Voir des milliers de photos couple ABDL SANS PUB

Voir 1600 vidéos ABDL couple SANS PUB

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque
Lire la suite : Antoine ABDL devient Noémie 2
Ce récit érotique est fabuleux.
Vraiment trop bon, merci
Publicité en cours de chargement